IFRAC : contestation des licenciements

La dérive d’un dirigeant

 

Le désastre des centres de formation IFRAC n’est pas une affaire commune. Son dirigeant a pu pendant plusieurs années se croire tout permis. Il a profité des failles du système économique, d’un déficit dans le contrôle administratif, des dysfonctionnements de la justice commerciale et d’une forme de complaisance à l’égard des « entrepreneurs ».

Ce qui a conduit à la destruction de deux entreprises de formation existantes depuis plusieurs décennies et la perte d’une centaine d’emplois dans un marché porteur, celui des formations transports et logistique.

La contestation des licenciements économiques engagée devant les Prud’hommes de Tours par une quinzaine d’ex-IFRAC devrait être l’occasion de s’interroger sérieusement sur le dispositif de prévention des difficultés économiques et la détection des pratiques frauduleuses.

Pour aller plus loin, voir le communiqué commun entre la section CGT IFRAC et GVCI.fr, le Groupement des Victimes et Créanciers des IFRAC, dont la section est à l’origine.

Lire le tract des victimes et créanciers des IFRAC ici

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